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Le métier chauffeur FMA

Aussi mobiles que le fond de leur semi-remorque, les chauffeurs FMA (fond mouvant alternatif) transportent différentes matières entre les centres de stockages françaises et les sites du groupe. Ils racontent leur quotidien.

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« Nous sommes des chauffeurs tout terrain » affirme Laurent Couderc.

Comme ses homologues, ce collaborateur de Trivalo 34 à Lansargues, dans l’Hérault, sillonne sa région au volant d’une semi-remorque à FMA.

Soit un engin capable de charger et décharger les matières sans basculement, grâce à un système de lames en aluminium actionnées d’avant en arrière. « Le double-avantage, c’est que nous avons une grosse capacité de charge et que l’on peut vider ou récupérer les déchets nous mêmes, horizontalement ou verticalement. C’est très pratique. »

Une autonomie qui vient cependant avec quelques contreparties : « Il y a beaucoup de manœuvres à faire avec une visibilité réduite. »

Un constat que partage Jean-Louis Provost, chauffeur chez Paprec Grand-Ouest 72, au Mans : « Il faut être hyper vigilant. De plus, nos camions sont plus hauts que les autres, et nous devons donc faire attention à notre prise au vent. »

Heureusement, Jean-Louis, chauffeur FMA depuis plus de 30 ans, peut désormais compter sur un matériel plus fiable que jamais  : «  Honnêtement, nos véhicules sont des Rolls aujourd’hui. Le métier est devenu beaucoup moins contraignant. Nous avons des sièges pneumatiques, des tapis et des systèmes de volets hydrauliques qui recouvrent les déchets. Avant, nous mettions nos filets manuellement. »

Autant de facteurs qui font dire à Jérôme Courlet, chauffeur du côté de Coved Les Fins, en Bourgogne Franche-Comté : « Franchement, moi, je m’éclate. Aujourd’hui, je travaille sans stress. »

Une décontraction qui n’est pourtant pas synonyme de laisser-aller : « Je fais parler mon expérience. L’essentiel pour moi, c’est de bien connaître son parcours comme sa semi, et de ne jamais s’affoler. » Mais aussi et surtout d’avoir la conduite dans le sang : « Ma passion c’est la route. Plus je pars loin, plus je suis content. »

 

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Tout comme Hubert Milon, chauffeur chez Ikos Environnement à Val de Saâne, en Normandie : « Je dois faire entre 300 et 350 km par jour. Donc oui, il faut aimer conduire ! » Et même apprécier la solitude qui vient avec les longues heures de transit : « Mais c’est une très bonne solitude affirme Jean-Louis Provost. De plus, nos trajets et nos horaires sont assez fixes. C’est quelque chose qu’on apprend aussi à aimer avec le temps ! »

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